Arteta face à la débâcle d'Arsenal : Un entraîneur plus préoccupé par ses joueurs que par les erreurs d'arbitrage

Au moment de la rédaction, c'est un fait salé à avaler par les fans d'Arsenal : Mikel Arteta, notre entraîneur de renom, est plus désolé des performances de son équipe que du scandale des pénalités d'Inter Milan.

Allons-y, laissez-moi clarifier cette absurde situation. Arteta, l'homme qui a su réchauffer notre amour pour le football du North London malgré un tablier d’invincibilité chancelant ces derniers temps, a plus de linge sale à laver dans sa propre maison plutôt que de se préoccuper des farces bidons italiennes. Car oui, l’équipe a été victime d’une panne d’électricité majeure lors de sa rencontre défensive contre Inter Milan, un spectacle douloureux qui a laissé un goût amer dans la bouche de tous les puristes du football.

La douleur d'Arteta

Voici ce qu'il s'est passé: Premier but, prévisible à souhait, second but, l’équipe déboussolée, et pour achever leur honteuse performance, un troisième but déconcertant, presque comme un cheveu sur la soupe. Mais ce qui frotte vraiment le sel dans la plaie, c'est le manque de protestation au sujet de la décision des pénalités.

Si quelqu'un a du mal à dormir la nuit en pensant à une injustice quelconque, il n'y a qu'à regarder un match d’Inter Milan. Non seulement les pénalités étaient ridicules, mais elles nous ont été infligées par un arbitre qui aurait dû rester à la maison, profitant de sa tasse de café, plutôt que de déshonorer notre sport sacré. Mais apparemment, pour notre cher Arteta, ce sont les performances de l'équipe qui le troublent plus.

Tout cela est bien beau, mais ensuite ?

Le navire d'Arsenal navigue en eaux troubles - aucune victoire en six matches, pour la première fois depuis les sombres jours de Unai Emery - et la douleur d'Arteta est palpable. Non seulement l'équipe est incapable de marquer des buts décisifs, mais elle est également incapable de défendre décemment. Une rondelle de fromage suisse offre plus de résistance que notre défense actuelle.

En fin de compte, les faits sont là, écrits en noir et blanc, aussi clairs que les rayures sur un zèbre - nous sommes mauvais en ce moment, et pire encore, nous semblons accepter notre malheur sans broncher.

Arteta, avec sa foi inébranlable dans sa troupe, veut que ses hommes se battent corps et âme pour chaque match. Par contre, ce combat mériterait également d'être porté hors du terrain, pour lutter contre des pénalités absurdes qui ridiculisent le beau jeu que nous aimons tant.

Il est temps pour Arteta et son armada de sorte à réviser leurs priorités - luttez pour votre honneur, luttez pour vos couleurs. Après tout, le football, c'est plus qu'un jeu, c'est un combat pour la gloire, l'honneur et l'amour du beau jeu.