La Premier League et l'ère du semi-automatisé : Une révolution technologique

La Premier League se prépare à l'ère semi-automatisée

Le grand monarque du football anglais, la Premier League, s'apprête à changer de garde-robe pour l'époque moderne avec une nouvelle technologie d'hors-jeu semi-automatisée (SAOT). Ce n'est pas une mode nouvelle, déjà adoptée par les icônes de la beauté du jeu, la Ligue des Champions et la Serie A. En bref, nous parlons d'une technologie qui devrait donner un coup d'accélérateur à la lenteur tortueuse des décisions de hors-jeu et rendre les sentences plus précises qu'un horloger suisse.

La montée difficile de la SAOT

Après avoir trébuché sur quelques pierres dans les premiers tests, la Premier League jure maintenant d'avoir fait des progrès correspondant à sept lieues. Le grand manœuvre qui tire les ficelles du football dans la ligue, Tony Scholes, a prédit un avenir technologique resplendissant proclamant que "les avancées récentes sont aussi significatives que d'ajouter Robin Van Persie à une équipe de Ligue 2".

La VAR se met à parler

En plus de tout ce battage technologique, la Premier League a un plan pour faire chanter la VAR pour qu'elle explique ses décisions mystérieuses aux fans stupéfaits. Ils testent un système où les arbitres deviennent les chanteurs de la VAR, diffusant les décisions à travers le stade comme un orateur grec antique. Encore une tentative pour déverrouiller le mystère de la VAR pour les fans.

Les technophobes du football

Arne Slot, le penseur stratégique derrière le géant Liverpool, a répondu au nouvel âge technologique avec un haussement d'épaules. Il concède qu'il ne voit pas l'utilité pour lui-même, mais admet que cela pourrait être un rayon de soleil pour les fans tout-puissants dans les stades. "Je n'en ai pas besoin, mais si cela fait hurler de joie les fans, alors pourquoi pas ?" a-t-il suggéré.

La bataille des chiffres

Les statistiques du VAR pour l'instant ressemblent à une équation gagnante pour le VAR. 70 interventions cette saison contre 61 la précédente, avec une réduction significative des gaffes. Seulement 13 fautes de frappe de VAR ont été enregistrées cette saison, contre un chiffre alarmant de 20 à la même époque l'année dernière. Les interventions du VAR sont maintenant aussi rapides qu'un éclair, prenant en moyenne 40 secondes contre 66 précédemment.

Feuille de route pour une VAR améliorée

La Premier League a dévoilé un plan visionnaire en six points pour faire entrer le VAR dans le futur : - Définir clairement les règles d'engagement pour le VAR et instiller le concept de "décision de l'arbitre" dans le cerveau footballistique. - Accélérer le jeu en lançant la SAOT dès qu'elle sortira de son cocon technologique. - Eclairer les fans avec des annonces limpides comme de l'eau de roche, et des replays sur grand écran. - Renforcer l'entrainement VAR pour des décisions précises comme un neurochirurgien. - Dévoiler la mystique du VAR avec des communications régulières aux diffuseurs et aux fans via le portail du Premier League. - Développer une meilleure compréhension et communication autour du VAR pour les fans et pour tous acteurs du jeu.

Les bourdes du VAR sous les projecteurs

Quatre bévues du VAR dignes d'un hall of fame cette saison :

- Bournemouth vs Newcastle : Un superbe but de Dango Ouattara, injustement annulé pour un soi-disant "handball". - West Ham vs Man Utd : Un cadeau inexpliqué pour West Ham sous forme de pénalité. - Everton vs Brentford : Christian Norgaard prié à tort de quitter le terrain. - Southampton vs Nottingham Forest : Un feu d'artifice de Nikola Milenkovic malheureusement éteint par un appel hors-jeu erroné.

Ces changements ont pour but de transformer le VAR en une machine aussi précise, rapide et transparente que la vision de Superman, pour le plaisir du football et des fans du Premier League.